mercredi 14 décembre 2011

Comme un feu follet



Il y a des jours où l'on se sent dans un film en noir et blanc de Louis Malle.
La musique est de Satie.
Maurice Ronet passe, perd ses mots.
Souffle court, usé.

1 commentaire:

Florence a dit…

Il est doux de s’y installer, dans cette mélancolie en noir et blanc, si bien rythmée par les notes de Satie. Mais vous, conservez vos mots et votre souffle, cher Arnaud, le mois de juillet est bien lointain, et qu’il le reste.