Le temps des copains, muse , musette, pablo le chat.
Du rosé, du rouge pour moi, pétard pour les autres.
Je reviens lentement.
Les mots ? Ne pas entamer les neiges de l'avenir.
Chut, on est dedans, dans la carlingue.
La fin de la terre sommeillait sous le ciel gris.
Le soleil, quand il en avait envie, souriait.
Hussard82, blogueuse, a également un beau sourire. Le camarade Marignac a souvent raison.
Mais le plus beau sourire, c'est évidemment CCA, blogueuse aussi, bien plus surtout.
CCA est une belle amie, une blonde héroïne qui sait que l'amour est enfant de bohème et des grands boulevards.
Christian Authier tape fort avec Une belle époque.
Jérôme Leroy, dans La minute prescrite pour l'assaut, cogne notre fin du monde, jusqu'à ce que la langue française pisse le sang.
François Cérésa - Les Moustaches de Staline - dessine une exquise héroïne, je le raconte dans l'Opinion indépendante bientôt.
Et Philippe Vilain se défend bien.
Le trio comique de la rentrée littéraire ? Angot / Millet et JP Enthoven parlant de Bernard-Henri Lewis. A se tordre de niaiseries sentimentaleuses. L'ami Laborde n'est pas loin : son Renaud fait un plat terrible.
Un jour, nous republierons les chroniques "Elle court, elle court, la nuit" de Jean-Michel Gravier. Neuhoff est partant et Frébourg presque d'accord.
Un jour, nous écrirons Le talentueux Mr. Gégauff.
Un jour, tout le monde dira que Les liaisons dangereuses de Roger Vadim, scénario du grand Roger Vailland, est un beau film. Annette Vadim mérite d'y être aimée follement.
C 'est la rentrée ? J'emmerde la rentrée. Ne compte que l'été de nos vies.