lundi 1 octobre 2012

Une âme damnée, Paul Gégauff, ça continue ...

Dans un message laissé du côté de nos braconnages foutraques, l'excellent Patrick Mandon écrit : "Il se fait autour de vous et de votre livre une belle camaraderie d'insolence et de talent." Evidemment ça nous enchante, autant les mots de Jérôme Besnard dans Causeur magazine de septembre (http://www.causeur.fr/gegauff-l%e2%80%99ecrivain-masque,19293) que ceux d'Alfred Eibel, qui connaissait bien Gégauff, dans Service littéraire de François Cérésa (à rapter dans les kosques : http://www.servicelitteraire.fr/PBEvents.asp) ou à paraître dans Valeurs Actuelles - et déjà ici : http://memoirememoires.wordpress.com/2012/09/23/une-ame-damnee-paul-gegauff-darnaud-le-guern/. On a été très heureux, également, de parler pendant une heure, mercredi, d'Une âme damnée, de Paul Gégauff, de miss K, de la Nouvelle vague avec Florent Coirier dans l'émission Sexy Mother Fucker sur Aligre FM : http://aligrefm.org/programmes/les-emissions/sexy-mother-fucker/ Florent est un passionné : de musique - Joe Tex, les Stones, Roxy Music ... - et des flamboyants comme Gégauff. Sa lecture de notre flânerie était parfaite, ses questions au plus près du sujet. Et puis il y a eu Jean-Luc Bitton et Gérard Guégan : Bitton sur son blogue consacré, entre autres, à Jacques Rigaut (http://rigaut.blogspot.fr/) et Guégan dans Sud Ouest (http://www.sudouest.fr/2012/09/30/le-dernier-des-hussards-835796-4692.php). Le texte de Bitton est titré "Un autre feu follet", celui de Guégan "Le dernier des Hussards". On lit et relit ces papiers, le dandysme chic de Bitton et les romans et autres flâneries au "coeur rouge" de Gérard Guégan : Sur le sentier de la guerre, Fontenoy ne reviendra plus, Markus Wolf avait une soeur, je l'ai aimée, Les cannibales n'ont pas de cimetières, ses souvenirs du Sagittaire et de Champ libre, Inflammables, Game over, on en oublie. Tout est dit, en attendant la suite.

3 commentaires:

Marignac a dit…

Mais alors dis donc, ça marche du feu de Dieu, ton affaire !… Bravo, c'était pas gagné !…
Que l'hère du temps te profite, ce n'est que justice. Félicitations.

Patrick Mandon a dit…

Thierry aussi est de la partie, cela me fait grand plaisir. Le « braconnier de Paname » est vraiment bien entouré. Marignac, à sa manière, est une « âme damnée », dont la fréquentation littéraire est hautement recommandée. À bientôt, Arnaud, et bravo !

Anonyme a dit…

Cher Thierry, cher Patrick, vos mots me touchent. Merci infiniment. A vite. ALG