mardi 1 novembre 2011

Parole d'enculé


"Nous sommes déçus. Les marchés sont déçus. Dès qu'il y a un pas en avant, un peu d'espoir, les politiciens foutent tout en l'air. On leur met le pistolet sur la tempe. On leur demande de faire des efforts. Et ils tergiversent. Ils veulent faire voter leur peuple à la con. C'est lamentable. Les marchés n'ont pas le temps d'attendre."
Un trader malheureux à l'annonce du referendum grec sur l'accord de Bruxelles

2 commentaires:

Fred Paulin a dit…

De super gros enculé même...

nicocerise a dit…

Il changera pas, je reconnais la faconde de mon pote Gérard. Un bel enculé.