J'allume une Bastos
que je fume en regardant
le corps endormi
de ma muse mimosa
Un corps sur lequel s'impriment
le noir de la nuit
le noir d'un caraco
le noir de sa motte
Il faudrait être fou pour
d'un mot de trop
abîmer les songes des muses mimosa
et chasser
le blues d'automne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire