mercredi 18 juillet 2012
Quand Jérôme Leroy parle de Paul Gégauff, d"Une âme damnée et du 13 septembre
Parmi les premières lectures d'Une âme damnée, on a été très touché, ces jours-ci, par les mots de l'excellent Gilles Verdiani et du tonitruant vélociférateur Christian Laborde - lisons et relisons sa Diane et autres stories en short. Et puis, aujourd'hui, on lit notre ami et si précieux camarade Jérôme Leroy, homme exquis en tout des choses de la vie, qui annonce la parution de notre flânerie autour de Paul Gégauff : c'est ici (http://feusurlequartiergeneral.blogspot.fr/2012/07/arnaud-le-guern-paul-gegauff-le-match.html) et c'est repris là avec, toujours, la charmante Mimsy Farmer en illustration :
"On croyait que le syndrome lost in seventies ne concernait que les quadras avancés et nostalgiques comme votre serviteur. Il faut croire que non. Notre ami, notre précieux camarade, notre petit frère Arnaud Le Guern, né en 76, est en effet affligé de la même pathologie. Visionnages spasmodique de films de l'époque, pillage des bouquinistes, etc... Il a cristallisé tout ça dans un essai lumineux, rapide, précis, ironique, amoureux, sexy, intelligent, joyeux sur la personne de Paul Gégauff, scénariste des plus grands, notamment Chabrol et Barbet Schroeder et écrivain remarquable qui fut le seul hussard publié aux éditions de Minuit.L'âme damnée de Le Guern est un va et vient entre son temps et celui de Gégauff. Il compare, il sourit, il caresse. Champion, va..."
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