D'après moi, you got the right stuff, mais tu prêtes le flanc pour des raisons à la noix, laisse tomber tomber la sentimentalité hussard, pour te mettre à la passion quotidienne et avec ton lyrisme naturel, c'est dans la fouille. Rien à foutre des trous du cul qui justifient leur salaire en te chiant dessus. Ils y connaissent pas plus que toi. Ce qu'il faut, c'est que tu prêtes pas le flanc.
Fais confiance aux vieux débris "cultes" ! Cest à dire qui vendent que dalle ! C'est eux que retiendra la postérité ! Et viens crever la dalle parmi nous ! J'ai reçu une lettre que j'aurais dû garder, de cette vieille gaufrette d'Yves Berger (Grasset également), pour "Fasciste", me disant que je ne manquais pas de talent, mais que mon livre était "narcissique", ce qui venant de cette pourriture égotiste était assez poilant. On parle de rééditer ce livre pour la troisième fois ces temps-ci. "Au commencement était le cul d'Elsa", ce serait la première phrase d'ALG. "Je ramollissais: faire la peau d'Elsa aurait pas dû me prendre plus d'un quart d'heure." ce serait la première phrase par Charlie Williams (auteur anglais publié par la Série Noire). La mienne serait: "Si elle avait pas eu un prénom communiste, j'aurais bien cloué Elsa sur ma paillasse". Que les cent fleurs de ton lyrisme s'épanouissent !…
Qui je suis ? Un grand rien percuté par la berline saoule de mes émotions.
Artistocrate échoué, clodo célinien en haillon Armani, intellectuel de gôche, fanatique de la foi, pistoléro de l’art quasimodesque, socialo suicidé, dandy destroy, détrousseur du tout social, idiot inutile, coco fascistoïde, terroriste de basse-fosse, pouilleux sans Dieux, ni maîtres - sauf les miens !-, franc tireur jamais partisan, derviche blasphémateur, Zorro au cœur qui pleure, qui flambe, fada de la peau.
Qui je suis ? Un festival de noms d’oiseaux qui tire ses cartouches usées sur les névroses du jour.
6 commentaires:
écoutez vous écrire,alors??!!
Écoute personne, petit père.
ou en tout cas pas les éditeurs, petit frère.
D'après moi, you got the right stuff, mais tu prêtes le flanc pour des raisons à la noix, laisse tomber tomber la sentimentalité hussard, pour te mettre à la passion quotidienne et avec ton lyrisme naturel, c'est dans la fouille. Rien à foutre des trous du cul qui justifient leur salaire en te chiant dessus. Ils y connaissent pas plus que toi. Ce qu'il faut, c'est que tu prêtes pas le flanc.
Diagnostic identique, simple question de réglage du moteur. Mais tu as le moteur. Et il n'y en a pas beaucoup.
Fais confiance aux vieux débris "cultes" ! Cest à dire qui vendent que dalle ! C'est eux que retiendra la postérité ! Et viens crever la dalle parmi nous !
J'ai reçu une lettre que j'aurais dû garder, de cette vieille gaufrette d'Yves Berger (Grasset également), pour "Fasciste", me disant que je ne manquais pas de talent, mais que mon livre était "narcissique", ce qui venant de cette pourriture égotiste était assez poilant. On parle de rééditer ce livre pour la troisième fois ces temps-ci.
"Au commencement était le cul d'Elsa", ce serait la première phrase d'ALG.
"Je ramollissais: faire la peau d'Elsa aurait pas dû me prendre plus d'un quart d'heure." ce serait la première phrase par Charlie Williams (auteur anglais publié par la Série Noire).
La mienne serait:
"Si elle avait pas eu un prénom communiste, j'aurais bien cloué Elsa sur ma paillasse".
Que les cent fleurs de ton lyrisme s'épanouissent !…
Enregistrer un commentaire