lundi 18 octobre 2010
Le style, c'est l'homme (#1 Gabriel Matzneff)
Parler de Matzneff, Les émiles de Gab la rafale. Dans le roman électronique de ses mèles de jour, de nuit : ses héroïnes comme dans Ivre du vin perdu, comme dans ses Carnets noirs ; son style, comme lorsqu'il défile pour Yamamoto. Ca énerve toujours les pieds pensants, Matzneff. Le style aussi, d'ailleurs. Et se souvenir du Dîner des mousquetaires, acheté après avoir entendu l'auteur au Jean Edern's club. C'était quelque chose les papiers de Matzneff dans L'idiot International. Penser à reparler d'Hallier, ça fait longtemps. Il aurait écrit sur Sarko, Woerth, Bettencourt un roman toni-truand. Il l'a écrit en fait : ça s'appelle Les puissances du mal. Hallier, cette fripouille flamboyante, est à relire.
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4 commentaires:
Je ne peux que soucrire à ce que vous écrivez, Matzneff, agace les têtes molles, elles vont parfois jusqu'à le maudire pour les belles et jeunes passions qu'il vit dans son journal, mais en fait c'est le style qui irrite ces assis.
Un lecteur amusé.
Philippe Chauché
N'empêche que là, Gab a un peu le feu au plancher. Ça frôle le pantacourt...
Le pantalon de Yamamoto avait dû être coupé pour Sarko ou Minc ...
On ne pourra pas dire de Gab qu'il enfile des costards trop grands pour lui...
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