dimanche 27 janvier 2008

Carte postale d'Alain Bonnand

Suite à un salute sur ce blogue, Alain Bonnand a déposé une carte postale passée inaperçue. C'était en novembre 2007. Le monde d'avant, toujours.
Nous parlions de Bonnand, entre amis, jeudi dernier chez Camdeborde, place de l'Odéon. Ces quelques mots nous font plaisir, Alain, et nous attendons (ou pas) vos nouvelles Jambes d'Emilienne ...
"J'ai longtemps fait la plonge chez mon papa, mais je n'ai jamais été peintre en bâtiment. (Je ne sais pas qui est le farceur qui aura si mal documenté Fabrice Gaignault à mon propos.) Oui, hélas, je n'ai pas eu à survivre. J'habite Damas, je vais à la pêche à Tartous, en train de nuit, avec ma fille Andrée et quand je rentre à Reims, comme en ce moment, ce n'est guère que pour y acheter un petit bien supplémentaire...Quelques fameux qui manquent au Dictionnaire de Gaignault : André Frédérique (La grande fugue), Thomas Raucat (Loin des blondes, L'honorable partie de campagne), Grisélidis Réal (La passe imaginaire, Le noir est une couleur)."

3 commentaires:

Jérôme Leroy a dit…

Le plus élégant des parachutistes, qui sauta toujours sans parachute.

Marignac a dit…

Tu parles, sauf quand il se prenait pour Nimier chez Grasset et plastronnait chez Ardisson, en jouant les soubrettes au Rocher, qu'il avait peur de pas retrouver sa place mais qu'il avait besoin du chèque pour sa cheminée dans la résidence secondaire. l'amour a bon dos et l'ineffable féminité aussi.

Arnaud Le Guern a dit…

Cher Alain Bonnand,
Si vous passez par là, pouvez-vous me mèler (elguerno@yahoo.fr) ?
J'ai une proposition, malhonnête of course, à vous faire.
Bien à vous.
ALG