Marignac n'en fait qu'à son style, mots à l'assaut ou à la caresse.
Il parle de ce qu'il veut, traduit des poèmes inédits de Limonov, nous rappelle la première phrase d'un roman d'Hervé Prudon : "J’étais dans un compartiment fumeurs avec la plus belle fille du monde."
A lire urgemment, ces derniers jours, quatre textes beaux et violents comme l'étaient les enchaînements de Marvin Hagler :
A mort Manchette ! (1) : http://chroniquesmarignac.blogspot.com/2008/09/mort-manchette.html
Crève le roman noir (2) : http://chroniquesmarignac.blogspot.com/2008/09/crve-le-roman-noir_16.html
Derniers soupirs (3) : http://chroniquesmarignac.blogspot.com/2008/09/derniers-soupirs.html
Les cendres de l'oubli (4) : http://chroniquesmarignac.blogspot.com/2008/09/les-cendres-de-loubli.html
Tout ça, c'est rien que des autoportraits d'un bandit dans son adolescence.
RépondreSupprimerOn voit où ça l'a amené, de faire, l'artiste, le Thierry.
Ah la la la
Le matérialisme d'ALG est implacable.
RépondreSupprimerEt a maturité éclairante, bien entendu, de même que son sens historique.La prochaine fois que je le vois (en général il est éméché et donc un peu plus flou sur les références) Il va se faire appeler Alfred.
RépondreSupprimerC percutant en effet : stylo stylé !
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