tag:blogger.com,1999:blog-1086481341965596315.post4470908109767406285..comments2023-11-02T10:31:05.950+01:00Comments on BRACONNAGES from Paname: Frédéric Berthet, l’étoile filante des lettresArnaud Le Guernhttp://www.blogger.com/profile/14068183240521022618noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-1086481341965596315.post-79126562282281469072007-01-31T02:38:00.000+01:002007-01-31T02:38:00.000+01:00Je garde de cette virée ivres, chez Gibert, un sou...Je garde de cette virée ivres, chez Gibert, un souvenir surréaliste et une dizaine de livres, derrière moi, rangée du bas. Je t'ai promis Blondin, pour commencer. Je commence demain.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1086481341965596315.post-24070061205088676812007-01-30T23:38:00.000+01:002007-01-30T23:38:00.000+01:00Le Journal de Trêve est un livre sans fin puisqu'o...Le Journal de Trêve est un livre sans fin puisqu'on le reprend sans cesse, on le relit, Pénélope au coeur du souvenir des mots, des silhouettes.<br />Berthet écrivait avec la vista géniale qu'avait, sur un court, John Mc Enroe. Ca tombe bien, il l'aimait beaucoup je crois. Et quand je lis, relis Berthet, je pense aussi - même côté passant fulgurant et léger - à Alain Bonnand. Quelques livres à neAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1086481341965596315.post-87330439713292128162007-01-30T23:01:00.000+01:002007-01-30T23:01:00.000+01:00Je l'ai rencontré cinq ou six fois, plutôt six.
J...Je l'ai rencontré cinq ou six fois, plutôt six. <br />Je parlais, ici je crois ou chez Jenny, de cette bonté qui émane de certains écrivains qui ont atteint une manière d'au-delà ici bas et qui peuvent se permettre le luxe d'une espèce de douceur corrégienne et aimablement ironique à la fois(ADG,Fajardie)<br />J'ai lu Daimler s'en va à sa sortie en 1988. Disons, pour faire simple, que ce livre Anonymousnoreply@blogger.com