Il lui répond oui.
Il lui parle de ses fuites, de la nécessité des fugues.
Elle ne l'écoute plus.
Ce n'est pas grave.
Elle ne sait pas que, passante fragile,
Elle l'a retenu
par l'électricité de ses sourires
par l'appel des frissons
par le grain chaud de ses doigts
par sa nuque claire comme l'esquisse
d'une lame.
Elle ne sait pas.
Ce n'est pas grave.
Ton écriture me parle, El Guerno!
RépondreSupprimerJoli poème
RépondreSupprimerC'est plus possible d'avoir l'indentité que l'on veut??!
RépondreSupprimerL'image c'est "Cul-de-sac" ?
RépondreSupprimerTrès cher Arnaud, fidèle à toi même... Comment t'atteindre, onde sensuelle, Toi qui me donnes des ailes...
RépondreSupprimerFidèle à moi-même, c'est un moindre mal.
RépondreSupprimerQuelques mots en vrac, en attendant mieux. "Nos amis les chanteurs - dernière salve", c'est en février, avec une belle couverture rouge sang et un bandeau noir pirate. Un livre où je dézingue notamment l'horrible M,"onde sensuelle" et tutti merdi.
en février mais c'est bientôt...
RépondreSupprimeret nuit grave??
sempre grazie per le tue parole.
RépondreSupprimeramo moltissimo questo blog.
un altro bacio da firenze.
Big brother ne m'avait pas dit qu'on lisait mes quelques mots jusqu'à Florence...
RépondreSupprimerC'est un plaisir.
Un pur texte, qui ne me déçoit pas de la part d'un faiseur d'éloge au crépuscule de novembre.
RépondreSupprimeramitiés.
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